Trop bonne trop c….

 

Avouez-le… Vous êtes de tous les (mauvais) plans ! Du déménagement de votre copine dimanche matin à 8h, à cette propale à boucler pour un client qui n’est même pas le vôtre … Vous n’en loupez pas une. Pourquoi ? Parce que vous avez été cataloguée « bonne pomme ». Attention, un acte de gentillesse de-ci de-là, c’est bon pour la santé, et c’est prouvé scientifiquement. Mais en faire votre raison d’être, vous risquez clairement le burn out. Comment en finir avec le syndrome de la bonne pomme ? Voici quelques pistes :

 

  1. Se demander pourquoion se sent dans l’obligation de se mettre au service du monde. Qu’est-ce que je cherche ? Qu’ai-je besoin de prouver ? Est-ce un besoin de reconnaissance ? Un besoin de me sentir utile et d’exister ? Une fois le mystère élucidé il vous sera plus facile de rompre avec cette habitude du « bon scout ».

 

  1. Se défaire de la culpabilitéet admettre que l’on ne peut pas endosser tous les jours le costume (et encore moins le boom boom short) de Wonder Woman. Parce qu’avouons-le, on en a déjà pas mal dans notre assiette. Penser à soi, privilégier les siens ne fera en rien de vous une mauvaise personne. Au contraire !

 

  1. Je sors mon arme secrète : le « non ».Mais le plus difficile reste à venir. Ne pas se noyer dans un bain de justifications, assumer son « non » sans bégayer ou lorgner vos nouveaux mocassins ? Comme l’a dit cet homme plein de bon sens qu’est Jean Paul Sartre « Nous sommes nos choix ». Alors on puise dans notre réservoir à confiance en soi, on lève le menton et on s’assume ! Non, c’est non.

 

Répétez après nous : No I can’t !